Sortie DGEMC au Tribunal de Paris

Posté dans : Actualité, DGEMC | 0

Le mardi 8 novembre, les élèves de terminale, option DGEMC, accompagnés de Mme Marchand, professeure de DGEMC et de Mme Fougerousse, professeure d’histoire – Géographie, se sont rendus au Tribunal de Paris. Ils ont été répartis dans trois salles d’audience. Ci-dessous, et sans retouches,  leurs témoignages et impressions ! Nous y retournerons en mars ou avril, après les épreuves de spécialité.

 

 

 

L’organisation de cette sortie est une réelle opportunité. D’abord elle nous permet de faire une chose que seul nous n’accomplirons pas. Ensuite, assister à des audiences est le meilleure moyen de comprendre la justice. Cette sortie au cœur de l’institution nous permet de nous rapprocher d’elle pour mieux la connaître et envisager les possibilités de carrières.

Mardi 8 novembre, j’ai pu assister à un procès public au tribunal de Paris. J’ai pu vivre une expérience incroyable. Tout d’abord c’était un grand rêve pour moi de pouvoir visiter et de découvrir de mes propres yeux le tribunal de Paris. Avec ses nombreux étages et des salles où les sentiments des personnes présentent là bas sont ressenti. J’ai assisté à un procès qui m’a énormément touché, surtout avec une fin compliqué pour moi comme pour l’accusé, où le père de l’enfant était condamné à 6 mois de prison et à l’interdiction de voir son enfant. C’est une expérience que je conseille fortement à faire, car c’est dans ces moments là que tu comprends ce qui est réellement du droit

Lors de notre visite au tribunal de Paris, nous avons assisté à des comparutions immédiates, c’est-à-dire des jugements d’infraction ou de délits commis quelques jours auparavant. Etaient présents dans la salle trois juges, un procureur, des avocats, les accusés qui passaient les uns après les autres et parfois des témoins. Lorsque l’accusé arrive dans le boxe, la juge présidente présente et liste les faits et les accusations. En fonction des cas, soit la peine est annoncé directement par la juge sans possibilité de s’exprimer pour l’accusé ou son avocat, soit après présentation des faits, l’avocat annonce la défense, puis l’accusé peut s’exprimer et doir répondre aux questions des juges. Puis le procureur annonce la peine qu’il souhaiterait voir tomber, puis l’avocat reprend la parole pour tenter d’atténuer cette peine. Le dernier qui prend la parole est l’accusé. Dans ce cas de figure, le verdict décidé par les juges tombe plus tard.

 Cette sortie était très intéressante. J’ai beaucoup appris sur le fonctionnement des jugements, le rôle de chaque membre juridique ainsi que les peines encourrues en fonction de l’infraction de la loi. La manière dont les avocats argumentent pour défendre parfois l’indéfendable est très intéressante, comme ^par exemple pour un cas de violences conjugales, où l’avocat a très bien sû plaidoyer en faveur de son client, en trouvant des arguments valables malgré la gravité des faits. Ce cas en particulier était très intéressant et compliqué, les deux parties avaient des torts ainsi que des circonstances atténuantes plus ou moins graves, ce qui montre la complexité de certains jugements.

Certainement la meilleure expérience à faire si nous sommes intéressés par les métiers du droit (pénal).  J’ai beaucoup aimé regarder comment un procès se passe, même si ce les audiences se passent très vite et que le sujet d’audience sont souvent répétés (vol par effraction, violence conjugal etc.…) Les plaidoiries d’avocat sont très intéressantes, surtout celle que j’ai pu voir lors de l’audience d’un couple pour violence conjugal, l’avocate est énormément talentueuse même si elle est commis d’office. Cela peut paraître assez impressionant si c’est la première fois que nous assistons à une audience. J’aimerai beaucoup participer à une audience en assises à l’avenir avec des sujets plus compliqués et des audiences plus longues

Le mercredi 8 novembre, je me suis rendu au tribunal de Paris dans le cadre d’une sortie scolaire avec ma classe de DGEMC. Nous avons été divisé en plusieurs groupes pour assister aux audiences ; moi et mon groupe sommes arrivés au cours d’une audience. Nous avons pu voir la juge énoncée les différentes preuves qui pèsent contre l’accusé, ce-dernier qui était d’après ce que j’ai compris du peu que j’ai vu du procès soupçonné de faire partie d’un réseau djihadiste. Nous avons pu à la suite de l’intervention de la juge observé la plaidoirie des deux avocats, celui de l’attaque s’étant exprimé le premier avec un long échange entre lui l’accusé.

Ce fut pour moi une expérience très enrichissante puisque c’était la première fois que j’assistais à une audience et j’étais très curieux d’en voir véritablement une. Ce qui m’a le plus marqué était surtout la prestation éloquente  des deux avocats qui était assez impressionnante.

 

Mardi 8 novembre 2022, j’ai eu la chance d’aller visiter le tribunal de Paris et d’assister à un procès. Je vais décrire en quelques lignes, ce que j’ai vu, compris et ressenti.
Tout d’abord, lorsque je suis rentré dans le tribunal, j’ai eu quelques frissons ; c’était la première fois et j’ai eu l’impression de découvrir un nouveau monde, un monde à part, et qui encore aujourd’hui pour moi, reste un lieu spécial. Lorsque j’ai vu ces nombreux avocats qui parcouraient les couloirs de cet immense lieu, je les ai admirés, simplement admirés, ils reflétaient quelque chose que je n’arrive pas à décrire, je dirais qu’on y voyait dans chacun d’eux, une aura d’éloquence et de grâce littéraire, et j’y voyait aussi cette dévotion qu’ils portaient à leur métier. Je les voyais tous très calmes, très sereins, comme si il n’existait aucune appréhension qui pourrait s’emparer d’eux, que toute situation était sous contrôle, comme si finalement ils étaient chez eux et non au travail.
Une fois dans la salle d’audience, j’ai réellement apprécié le lieu, j’ai aimé surtout prendre conscience du fait que je suis réellement dans une salle d’audience et que j’assisterai à un vrai procès. Alors je me suis installé et j’ai contemplé, j’ai contemplé la beauté de l’endroit et son importance.
Certains avocats étaient déjà dans la salle, j’ai pu également grâce aux cours de DGEMC, repérer le greffier, qui est une personne très importante dans un procès. Lorsque soudain sont rentrés les juges ainsi que d’autres avocats, à ce moment là, toute la salle s’est levée et les procès pouvaient commencer.
Au départ, il s’agissait d’un verdict, et deux jeunes hommes sont rentrés dans la salle, du coté des accusés, alors immédiatement la présidente a énuméré les faits – ces deux jeunes hommes auraient frappé très violemment une autre personne, de leur âge, « pour rigoler », sauf qu’il se trouvait que la victime à eu la mâchoire complètement amochée, il aurait reçu plusieurs coups et serait allé directement aux urgences – elle a après cela, annoncé le verdict, et ces deux jeunes hommes allaient directement en prison. Dans un
silence total, ils ont quillé la salle. J’ai été un peu surpris de la rapidité du déroulement des choses, mais je me suis rendu compte que le procès a déjà eu lieu.
Après cela, un monsieur s’est alors levé et a annoncé la prochaine séance, dans une rapidité indescriptible, un autre accusé est rentré et moi de mon coté j’ai réalisé une chose que j’ignorais complètement, le fait que les procès s’enchaînent les uns après les autres sans pauses. Un monsieur est rentré, du coté des accusés, et par le même déroulement, la présidente annonçait le verdict et la peine que prendrait ce dernier. Cette fois-ci, il n’y a pas eu la présentation des faits, mais le verdict immédiat, le monsieur allait directement en prison. À ce moment là, le coupable à commencé à crier et mettre en cause la justice en disant qu’elle ne faisait pas bien son travail.
Dans une continuité très fluide, un autre accusé est rentré, et cette fois, il s’agissait de son procès. Ce monsieur sortant de soirée avec sa femme, alors qui auraient bu de manière très excessive et comme jamais auparavant, il aurait frappé sa femme, et si fort qu’elle perdait du sang. Les coups auraient été réciproques mais plus violents chez l’homme. Ce qui était particulier c’était le fait que la victime, la femme
qui a été frappée, ne se présentait pas dans la partie civile donc ne se considérait pas comme victime, mais des voisins auraient appelés la police pour des cris et pour avoir vu la femme frappée en sang. Cecouple était jeune de 4 mois, mais malgré cela il assuraient qu’ils s’aimaient beaucoup. Une fois les faits rappelés, la procureur s’est alors levée et à commencé à prouver qu’il faudrait alourdir la peine de ce monsieur, et à prouver que son acte n’est pas pardonnable. Après cela, l’avocat se leva et directement dans une aisance surprenante et dans des qualités oratoires formidables il débuta sa plaidoirie. Je ne peut que dire que j’ai été emporté par son discours que j’ai fortement apprécié, il maniait très biens les mots et son discours était très convaincant. Nous n’avons malheureusement pas eu de verdict car il fallait un temps pour que les juges se concertent, mais j’ai beaucoup aimé le déroulement du procès.
Enfin, un dernier accusé était rentré, il s’agissait d’Alexandre, ce dernier aurait été auteur de trafic de stupéfiants. Après une longue pause de travail, 2 ans, il a sombré dans les produits illicites, mais non pas pour les consommer mais pour les redistribuer, alors qu’il aurait déjà été condamné pour la même cause quelques années auparavant. Il se trouvait qu’il cachait une grande quantité de variété de produits illicites dans l’appartement d’une amie d’enfance, celle qui l’hébergeait à ce moment là, et cette dernière à été
controlée dans son véhicule avec un sac de produits stupéfiants. Ce procès était un peu plus long mais très intéressant, là encore j’ai adoré la plaidoirie de l’avocat qui lui aussi d’une aisance très particulière arrivait à s’exprimer. Cependant encore une fois nous n’avons malheureusement pas eu le verdict.

Je dirais pour finir que cette  expérience est très enrichissante, j’ignorais que tout le monde pouvait avoir accès aux procès, je trouve cela une très bonne idée, il n’y a ainsi pas de séparation mais plutôt une transparence entre la justice et les citoyens. Je remercie Mme Marchand d’avoir pu concrétiser ce projet et d’avoir offert à ces élèves, et particulièrement à moi-même l’occasion de pouvoir assister à un procès. Une occasion mémorable, et motivante pour l’avenir ! Merci !

Nous nous sommes rendus au tribunal de Paris vers 15h00 pour assister à des comparutions immédiates. C’était pour moi la première fois que je venais au tribunal. Je ne m’attendais pas à voir tant de personnes à l’intérieur.

Nous étions divisés en deux groupes et mon groupe n’avait aucune place dans les deux chambres immédiates. Alors on a été redirigé vers un procès pour une affaire de terrorisme. Il y avait trois personnes accusées d’avoir des liens (des SMS envoyés ainsi que de l’argent) avec un des membres de leur famille qui se trouve dans le réseau terroriste de Daesh. Les trois accusés étaient dans un box surveillé par trois agents de police. Un seul des trois accuse et intervenue pendant le temps auquel nous avons assisté au procès. Les avocats qui défendent les accusent était placés devant leurs box. Le juge était assis au centre de la salle, l’avocat partie civile se trouvait à l’opposé des accusés et de leurs avocats. L’avocat d’un des accuse est intervenue en réaction à l’accusation que venait d’énoncer l’avocat de la partie civile. La juge est également intervenue pour citer les faits qui était tenue contre l’accusé.

J’ai trouvé qu’à assister à un procès comme celui-ci avec un sujet qui est encore d’actualité était très intéressant et enrichissant. Cela m’a permis de voir comment se dérouler un procès dans la réalité et également comment chaque rôle intervienne au cours d’un procès (avocat, juge, huissier etc.). Cette sortie au tribunal m’a donné une idée de la place des différents métiers du droit dans un procès ainsi que les enjeux derrière un procès. Elle m’a également donner une idée de la place des différents métiers du droit dans un procès ainsi que les enjeux derrière un procès. Ce passage au tribunal nous a vraiment permis une immersion dans l’atmosphère d’un procès.

Lors de la sortie au tribunal, j’ai pu assister au procès d’une affaire concernant une affaire de complicité terroriste.

                  Il s’agissait d’un homme accusé d’avoir aidé son frère lors de ses activités terroristes. Cette aide est passée par des transferts de capitaux, l’absence de dénonciation aux autorités ou encore un encouragement manifesté par des commentaires félicitant son frère des morts donc il était responsable.

                  L’homme accusé niait la très grande majorité des faits. Toutefois, il revenait quasiment constamment sur ses déclarations une fois que le procureur avait pris la parole afin d’énoncer les preuves qui contestaient les dires de l’accusé.

                  J’ai trouvé ce procès très intéressant car étant déjà allée au tribunal dans le cadre scolaire, ce dossier était plus complexe et présentait un cas plus grave en termes d’infraction à la loi. En effet, les charges à l’encontre de l’accusé étaient multiples et de natures très diverses.

                  Cette visite m’a permis de bien mieux découvrir le rôle de procureur de la république. Il occupe une place essentielle dans le procès et j’ai pu observer la manière dont il expose ses différents arguments etc. Ce métier m’a semblé très intéressant et riche dans la diversité des recherches, des multiples procédures … J’ai aussi été surprise par le rôle minime des juges accesseurs.

                  J’ai donc pu particulièrement apprendre sur le rôle des différents métiers du droit lors des procès.  

Mon expérience au tribunal le mardi 8/11 fut la première et surement pas la dernière.

N’ayant pas pour projet d’orientation le droit, j’ai trouvé la séance très enrichissante malgré tout.

J’ai ressenti la réalité des règles de droit, la proximité avec les peines, qu’elles aillent de l’amende à l’emprisonnement.

La difficulté de chaque métier respectif, celui de procureur de la justice qui devait prononcer

la peine en premier à l’accusé et devait convaincre le jury/juge que le suspect était coupable.

Le métier d’avocat (dans ce cas seulement de la défense) car donné le parcours des deux suspects des comparutions immédiates, j’ai trouvé qu’il était difficile de leur trouver des alibis.

Le métier de juge et la capacité d’écoute que ça demandait, ne pas perdre le fil face aux récits des accusés et des témoins (dans mon cas un témoin qui était complice d’un trafic de drogue, et une victime de violence conjugale qui a décidé de témoigner sans être parti civile). La fermeté du juge, son éloquence, sa certaine classe aussi et sa capacité à comprendre les mécaniques d’un récit en quelques minutes.

J’ai aussi découvert la cruauté (je n’excuse pas les accusés) qu’une telle séance pouvait faire preuve, à cause de la rapidité de la délibération de peine du procureur de la justice, même si elle est justifié.

J’ai aussi retenu que les deux délits (je ne suis pas sûre si ce sont des délits ou des contraventions) étaient tous deux liés à des choses prohibées, la drogue et la consommation excessive d’alcool et que je ferais mieux dans ma vie de ne jamais être concernés par ces deux choses de près ou de loin.

Une chose qui m’a aussi marqué, c’étaient les émotions qui m’ont submergés durant la séance, de l’agacement à la colère quand je jugeais que l’accusé racontait des mensonges/qu’il modifiait la réalité. À la peine et compassion pour une complice d’un trafic de stupéfiants qui traversait déjà une période difficile de sa vie et qui en plus, face au choc de sa première interpellation, avait encore plus sombré dans une dépression et qui risquait le bracelet électronique pendant les 10prochaines mois, ce qui auraient d’autant plus détérioré sa santé mentale.

Je salue le courage que demande le fait de témoigner en tant que victime, devant les juges qui décideront de notre peine/nos proches/et de simples inconnus. Je salue aussi l’impassibilité du jury qui n’ont pas laissé paraître leurs émotions quoiqu’elles ont pu être suscités.

J’avoue que j’aimerais assister à des assises dans l’année si cela est possible, dans tous les cas si une sortie comme celle-ci est possible à nouveau j’en serais ravie.

Lors de cette sortie au tribunal, nous avons assisté à des comparutions immédiates. C’est-à-dire des procès très rapides, dans lesquels il n’y a pas d’ambiguïté et où le mis en cause est clairement identifié et en général reconnaît les faits. Ainsi, les premières choses dont nous avons été témoins on été des verdicts donc des jugements rendus par le tribunal sur des comparutions ayant eu lieu au préalable. Au début donc, les décisions du tribunal se sont enchaînées très vite, ne laissant place à aucune contestation de la part des prévenus. A titre personnel, je trouve ça assez impressionnant. Les prévenus ont tous des cas et des affaires différentes mais ils défilent sans arrêt devant le tribunal pour recevoir leur peine définitive ; aucune discussion n’est plus permise.

Ensuite les audiences plus longues commencent, où le prévenu est entendu et où son cas est alors examiné devant le tribunal composé d’un ou d’une Présidente (une Présidente dans mon cas) assistée de deux autres juges ainsi que de la Procureure de la République. Un huissier est également présent avec les avocats des prévenus. Les comparutions durent plus ou moins longtemps mais tout type de personne est mise en cause. J’ai tout de même noté le travail impressionnant de la Procureure qui, contrairement aux avocats, reste sur toutes les comparutions et maîtrise absolument tous les dossiers.

Ce fût une expérience très enrichissante, impressionnante lorsque c’est la première qu’on assiste à ce genre de choses.

La salle était donc ouverte au public et elle était pleine. Certes entre autre des familles des prévenus mais pas que. Je pense que c’est intéressant de s’y rendre au moins une fois pour se rendre compte que la justice est un milieu tout de même proche de la population. Même si certaines professions ne laissent pas place aux états-d ’âmes quelque soit la situation du prévenu.

Premier constat (entrée)

-Le tribunal est un bâtiment particulièrement sécurisé (présence de policiers armés, caméras de sécurité, fouille à l’entrée, portail automatique comme dans les aéroports et vigile, objets interdits comme les ciseaux, portails ) Probablement pour garantir une sécurité à la fois pour les juges, les avocats, les accusés, leurs familles et toutes autres personnes.
Et présence de policiers à l’intérieur même des salles ou se déroulent les procès

Constat lors du procès suivie et remarques :

-Les procès se déroulent les uns à la suite des autres (il n’y a pas de pauses entre chaque procès), quand nous sommes entrés dans le tribunal, deux jeunes étaient en train d’être jugés pour coups et blessures, l’accusée de l’affaire suivante est entrée dans le box des accusés et directement après avoir finit le premier, les procureurs enchaînent sur le deuxième afin de ne pas perdre de temps.

-les accusés ont tous des chefs d’accusation variés (coups et blessures, violences conjugales, livraisons de stupéfiants)

-Dans la salle, silence respectueux, concentration absolue et les juges font preuve d’un très grand sang-froid et sérieux, nous pouvons sentir à travers leurs dictions qu’ils maîtrisent leurs métiers et ne font preuve d’aucun comportement qui ne seraient pas professionnelles.

-Au cours du procès, chaque personne a un temps de parole ou elle expose ses arguments, l’accusé à le droit de parler lui aussi tout comme le chef d’accusation, l’avocat de la défense…
Exposition des faits, constats à dire, arguments.

-Contrairement à ce qu’on peut voir autre part, il n’y a pas de personnes qui hurlent « Objection ! ».

-les juges ne se laissent pas attendrir et ne se laissent pas envahir par leurs émotions, ils ont conscience de ce qu’ils font et savent parfaitement qu’ils ne sont pas là pour faire du social, leurs rôles et de juger des accusés de crimes parfois très graves et on sent que ce sont des personnes professionnelles.

Avis personnel :

J’ai particulièrement aimé cette sortie immersion dans un tribunal. Cela m’a permis de comprendre la réalité de ce qu’il se déroule derrière un procès, en voir un de ses propres yeux n’a rien à voir avec les procès qu’on voit dans les films ou à la télé.
De plus, nous avons put voir comment se déroulait un procès et également le rôle de chaque personne qui devait assurer son déroulement.
Mettre les pieds dans un tribunal a été une expérience très enrichissante pour moi et j’espère qu’on aura l’occasion de refaire des sorties de ce genre.

pour la sortie au tribunal, j’ai vraiment apprécié. C’était très intéressant et instructif.

C’était d’autant plus captivant, puisque grâce aux cours sur le parcous éléa (et lorsque que nous devions choisir un métier dans le droit), je pouvais comprendre le rôle des personnes présentes et la procédure. C’était une sortie très enrichissante. Merci beaucoup.